Ce mercredi 02 novembre l’humanité a célébré la journée internationale de l’impunité commis contre les journalistes. Cette journée est instituée par l’organisation des Nations-Unies après l’assassinat de deux journalistes français par des groupes terroristes au nord du Mali le 02 novembre 2012.
Dans la région de Labé, la célébration de cette journée passe presque inaperçue chez les Hommes de médias. Toutefois, certaines journalistes se sont exprimées sur les violences que subit cette corporation dans l’exercice du métier à travers le monde. C’est le cas d’Aïssatou Sow, journaliste qui déplore cette situation.
« C’est vraiment dommage ce que les journalistes subissent parfois. Partout à travers le monde les journalistes sont soit séquestrés, intimidés, violentés ou encore enlevés voir même tués dans l’exercice de leur métier. Les gouvernements du monde entier doivent revoir ce problème. Et surtout penser à l’adoption d’une loi internationale qui protège les journalistes surtout ceux qui travaillent en milieu conflictogène » lance-t-elle.
Cette autre journaliste s’inscrit dans le même sens et demande « aux autorités des différents pays de faire en sorte que le journaliste soit en sécurité et exerce son activité en toute liberté. Les gens doivent comprendre que le journaliste peut beaucoup contribuer au développement de son pays » indique-t-elle.
Malgré l’instauration de cette journée pour attirer l’attention de l’opinion publique sur les crimes dont les Hommes des médias sont victimes, les journalistes du monde continuent toujours à être des « victimes privilégiés ».
Alpha Moussa Dieng